Danger de l’été : attention au soleil, à la chaleur, noyade, pollution et aux insectes

Vous l’avez attendu depuis bien longtemps et il est enfin là : l’été, bien sûr ! L’été est souvent synonyme de dangers dont on ne mesure pas toujours les conséquences. Dans ce dossier spécial, retrouvez tous nos conseils pour vous protéger des dangers de l’été, mais surtout les solutions pour les traiter si vous en êtes victime.

1. Le soleil

C’est « l’ennemi numéro 1 de l’été » ! Bien que nous soyons heureux qu’il soit là, puisqu’il booste notre moral et nous permet de profiter au maximum de nos vacances, le soleil peut-être dangereux. Alors, pourquoi faut-il se protéger du soleil, et surtout, comment le faire ?soleil

1.1/ Pourquoi se protéger du soleil ?

On le sait, il est très important de se protéger du soleil. Pourtant, aujourd’hui encore et ce malgré les différentes campagnes de sensibilisation, il n’est pas rare de voir des gens dont la peau est rougie. Bien souvent, on a tendance à dédramatiser en pensant qu’il ne s’agit que d’un banal coup de soleil. Nous avons tort !

Le danger du soleil vient de ses rayons ultraviolets. On en distingue deux sortes : les UVA et UBV.

  • Les UVA sont responsables du vieillissement prématuré de la peau, d’apparition de rides et de tâches brunes.
  • Les UVB, eux, stimulent la production de mélanine et activent le bronzage.

Les expositions au soleil de longue durée ou à répétition auront, à long terme, des conséquences sur votre santé. En effet, l’exposition aux rayons UV peut déclencher des cancers de la peau. Là encore, on en distingue deux types :

  • Les carcimomes : cancers qui touchent la couche superficielle de l’épiderme.
  • Les mélanomes :  tumeurs malignes qui se développent plus en profondeur de la peau.

1.2/ Comment se protéger du soleil ?

  • Évitez de vous exposer entre 12h et 16h. L’intensité des rayons UV est lié à la position du soleil et non à la chaleur ressentie. Méfiez vous donc des journées où le temps vous parait couvert, ou lorsqu’il y a du vent. Même si vous n’avez pas spécialement chaud, les rayons UV, eux, sont bel et bien présents.
  • Si vous vous exposez au soleil, sachez que la protection optimale est de se couvrir avec un tee-shirt sec, un chapeau et des lunettes de soleil. Les lunettes de soleil sont très importantes, dans la mesure où les yeux sont également réceptifs aux rayons UV.
  • Si vous n’êtes pas couvert, la crème solaire est indispensable. Un indice minimum de 30 est recommandé (50 pour les enfants). Appliquez là 30 minutes avant l’exposition, et
    renouvelez toutes les 2h, ou après une baignade.
  • Attention : il ne faut pas croire qu’un indice de protection élevé vous permettra de vous exposer plus longtemps. Si vous comptez faire une exposition longue, préférez un indice moyen à renouveler tout au long de la journée à un indice fort appliqué une seule fois.
  • Pensez à boire régulièrement pour éviter la déshydratation.

N’oubliez pas qu’une peau déjà bronzée a également besoin de protection. Le bronzage est certes une barrière naturelle de la peau face au soleil, qui réduira les effets des UV, mais ne vous en protégera pas en totalité. Vous serez moins sensible aux coups de soleil, mais vous ne serez pas protégés de risques de cancer.

soleil

1.3/ Comment traiter un coup de soleil ?

Si toutefois, malgré ces conseils, vous avez attrapé un coup de soleil, il existe plusieurs façon de les traiter :

  • Rendez vous tout de suite en pharmacie afin de trouver un produit adapté, de type Biafine. Il faudra l’appliquer sur les parties touchées en couche épaisse. N’hésitez pas à renouveler ce geste plusieurs fois dans la journée pour donner un coup de frais à votre peau et diminuer la sensation de chaud. On entend dire que certaines recettes amènent au même résultat d’apaisement : badigeonnez vos coups de soleil de yaourt, de concombre ou encore de pomme de terre aurait le même effet que les crèmes anti-brûlures.
  • Si vous avez des cloques ou des croûtes, surtout, n’y touchez pas ! Il ne faut pas les gratter, ni les percer. Un nettoyage avec un antiseptique est recommandé. Continuez toutefois à hydrater avec une crème. Vous pouvez également mettre des pansements pour éviter les frottements sur vos vêtements.
  • Prenez une douche ou un bain froid. Ou tout simplement, posez un linge humide sur vos coups de soleil. Cela vous aidera à faire baisser la température de votre corps ainsi que les  sensations de chaleur et de picotement dû à ces brûlures.

A découvrir aussi : Nos conseils pour éviter un coup de soleil et ici ceux pour bien choisir sa crème solaire

2. La chaleur

La chaleur justement, est elle aussi très dangereuse. On entend souvent parler de canicule en pensant qu’il s’agit tout simplement d’un épisode de forte chaleur. La réalité est un peu différente.

Selon la définition, une canicule (ou vague de chaleur) se traduit par un épisode de températures anormalement élevées, sur une période de plus de 3 jours consécutifs, aussi bien le jour que la nuit. La nuance réside dans le fait que l’amplitude thermique entre les températures observées le jour et la nuit est fortement réduite. D’où l’incapacité de faire fuir la chaleur la nuit. Bien souvent, on observe également un taux d’humidité élevé, ce qui renforce la sensation de chaleur écrasante.

thermomètre

2.1/ Quels sont les risques de la chaleur ?

Selon l’âge, le corps ne réagit pas de la même façon aux fortes chaleurs. Lorsque l’on est âgé (plus de 65 ans), le corps transpire peu et il a donc du mal à se maintenir à 37°C. C’est pourquoi la température du corps peut alors augmenter : on risque le coup de chaleur, ou hyperthermie. En ce qui concerne l’enfant et l’adulte, le corps transpire beaucoup pour se maintenir à la bonne température. De ce fait, on perd de l’eau et on risque la déshydratation.

Alors qui surveiller en priorité ? Les personnes dites, à risque sont :

  • Les personnes âgées de plus de 65 ans
  • Les nourrissons et enfants (notamment ceux de moins de 4 ans)
  • Les femmes enceintes
  • Les travailleurs manuels à l’extérieur et les personnes pratiquant une activité sportive en plein air.

2.2/ Comment s’en protéger ?

  • En premier lieu, il convient de boire régulièrement et en quantité suffisante, sans attendre d’avoir soif.
  • Restez au frais le plus possible. Evitez de sortir si vous le pouvez, surtout durant les heures les plus chaudes (entre 11h et 16h).
  • S’il fait trop chaud chez vous, n’hésitez pas à vous réfugier dans des endroits climatisés tels que les supermarchés, cinéma, etc.
  • Prenez des douches fraîches autant de fois qu’il sera nécessaire. Attention à ne pas mettre de l’eau trop froide.
  • Préférez les fruits, légumes et repas frais ou ne nécessitant pas de cuisson. L’utilisation d’un four ou de plaques de cuissons apportera encore plus de chaleur.
  • Évitez les efforts physiques importants.
  • Donnez et prendre des nouvelles de vos proches.

Il existe également des astuces pour garder sa maison au frais. Les voici :

  • Fermez vos volets pendant toute leur exposition au soleil. Ouvrez les après le coucher du soleil, fenêtres ouvertes également, pour faciliter le passage de l’air.
  • Essayez de refroidir l’air grâce à ses techniques : posez un linge humide (serviette de bain) devant une fenêtre ouverte ; placez un pain de glace dans un courant d’air (devant un ventilateur par exemple) ; versez un seau d’eau froide après le coucher du soleil sur vos balcon, terrasse ou rebord de fenêtres.

2.3/ Symptômes du coup de chaleur

Si toutefois, malgré ces conseils, vous ressentez un des symptômes suivant, c’est que vous êtes sans doute victime d’un coup de chaleur :

  • Une sensation de soif intense
  • Une peau chaude et desséchée ; une transpiration abondante
  • Une forte fièvre (jusqu’à 41°C) ; des maux de têtes ou des vertiges et étourdissements
  • Une faiblesse et une fatigue générale intense
  • Des crampes musculaires
  • Des nausées, des vomissements et des diarrhées

2.4/ Comment agir en cas de coup de chaleur ?

En cas de coup de chaleur, chez une personne consciente, il est primordial de suivre ces conseils :

  • Éloigner la personne de l’ambiance chaude. Pour cela, il faut la déshabiller, la mettre dans un endroit frais bien ventilé, l’asperger d’eau et la recouvrir de linges mouillés. L’utilisation d’un ventilateur est aussi conseillée.
  • Lui donner régulièrement à boire en attendant l’arrivée des secours, le mieux étant de lui proposer de l’eau salée (eaux gazeuses) , ou de l’eau associée à des liquides sucrés.

Une personne inconsciente doit être allongée en position latérale de sécurité, et les secours doivent immédiatement être prévenus.

Si vous ressentez le moindre inconfort, n’hésitez pas à demander de l’aide à vos voisins, votre médecin traitant ou, en cas d’urgence, à appeler le 15 (SAMU). De même, si vous voyez une personne victime d’un malaise ou d’un coup de chaleur, appelez immédiatement les secours en composant le 15.

A découvrir aussi : Tous les bons gestes à adopter pour lutter contre la chaleur

3. La pollution de l’air

Dès que la chaleur arrive, c’est un véritable fléau. Elle s’aggrave fortement en période de beau temps car les particules fines ne parviennent pas à se disperser, faute de vent. Couplés à un phénomène de vague de chaleur, les dangers de la pollution sont d’autant plus élevés.

La pollution de l’air provoque notamment des accès de toux, des crises d’asthme et des infections pulmonaires bactériennes. Les yeux piquent légèrement, tout comme les voies respiratoires. Soyez vigilants !

pollution

3.1/ Comment s’en protéger ?

  • Limitez les activités physiques en extérieur.
  • Aérez votre appartement ou maison la nuit ou le matin très tôt, lorsque l’air est encore respirable.
  • Évitez de sortir durant les heures les plus chaudes (entre 11h et 16h), c’est-à-dire lorsque la pollution est la plus importante.

3.2/ Comment la réduire ?

Cette pollution est avant tout causée par nous tous, au quotidien. Alors, voici nos 2 principaux conseils pour la réduire  :

Il convient également de ne pas aggraver la situation en fumant ou en utilisant des produits tels que des solvants ou peintures.

A découvrir aussiTous les conseils pour vous protéger de la pollution de l’air atmosphérique.

4. La baignade

Voici sans doute votre activité favorite pendant les vacances : la baignade. Cependant, surtout avec des enfants, il convient d’être très vigilant car les accidents sont très fréquents. Quels sont les risques encourus lorsque vous vous baignez ? Comment s’en protéger ? Voici les réponses.

baignade

4.1/ Les risques lors d’une baignade

Que vous soyez à la mer, au bord d’un étang, ou d’une piscine privée, les risques sont bel et biens là.

4.1.1/ La noyade

Le danger principal est bien entendu la noyade. Sachez qu’on ne compte pas moins de 500 noyades mortelles par an en France, dont la moitié en mer. On distingue deux types de noyades : la noyade asphyxique et la noyade syncopale.

  • La noyade asphyxique : c’est une insuffisance respiratoire provoquée par la submersion ou l’immersion en milieu liquide. Elle peut arriver n’importe où, même dans des niveaux d’eau
    très bas.
  • La noyade syncopale ou hydrocution : elle est provoquée par la différence de température entre votre corps et l’eau de baignade. Elle survient surtout en cas d’entrée brutale dans
    l’eau, ou après une longue exposition au soleil.

4.1.2/ Les baïnes

Localisés sur la côte atlantique, les courants de baïnes provoquent des accidents chaque année. Elles forment de petites piscines creusées par le courant des marées. Leur eau est souvent plus
chaude due à une profondeur peu importante et une forte exposition au soleil.

Les baïnes, qui sont le terrain de jeu de nombreuses estivants, sont pourtant très dangereuses. En effet, il suffit qu’une brèche s’ouvre dans le banc de sable pour que l’eau s’échappe violemment de la baïne. Ces « sorties de baïnes » créent des courants auxquels il est difficile de résister.

4.2/ Comment éviter les accidents ?

  • Choisir les zones de baignade surveillées.
  • Informez-vous sur les conditions de baignade : vagues, courants, marées, etc…
  • Respectez les consignes de sécurité signalées par les drapeaux de baignade (rouge, orange, vert).
  • Équipez vos enfants de brassards (norme NF 13138-1). Surveillez-les et restez auprès d’eux en permanence. Baignez-vous en même temps qu’eux.
  • Entrez progressivement dans l’eau et mouillez d’abord votre nuque.
  • Ne surestimez pas vos capacités physiques.
  • Ne pas se baigner si l’on ressent le moindre frisson ou trouble physique et éviter tout comportement à risque (alcool, exposition excessive au soleil, entrée trop rapide dans
    l’eau…).

Pour les piscines privées, la loi prévoit 4 dispositifs (barrières, abris, couvertures, alarmes sonores). Pensez à poser à proximité une perche, une bouée et un téléphone pour alerter les secours au plus vite en cas de besoin.

4.3/ Que faire en cas de danger ?

  • Ne luttez pas contre le courant et les vagues, vous allez vous épuiser plus rapidement. Laissez-vous porter par le courant tout en agitant vos bras pour alerter les secours de votre danger. Attendez les sauveteurs, si vous êtes dans une zone surveillée, votre situation sera vite repérée.
  • Si vous être fatigué(e) d’avoir trop nagé, reposez-vous sur le dos. Cela dégagera vos voies respiratoires et vous permettra d’avoir une meilleure respiration pour ainsi appeler à l’aide.
  • Si vous soyez l’un de vos proches en difficulté dans l’eau, le plus sûr est de prévenir les secours. C’est pourquoi il faut toujours être sur une plage surveillée. Les secours sont directement sur place et sont à même d’intervenir le plus vite possible. Surtout, n’y allez pas vous même, vous risques de vous mettre en danger également.

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5. Les piqûres

Véritable angoisse ou phobie chez certains d’entres nous, les piqûres de moustiques, d’insectes ou encore de méduses font leur grand retour tous les étés. Quelles sont les astuces pour se protéger des insectes ? Comment traiter les piqures ? Voici les réponses.

moutique

5.1/ Piqures de moustiques

Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont uniquement les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres. Après l’accouplement, la femelle part chasser du sang de mammifère afin de nourrir ses œufs en protéines. Si elle n’est pas interrompue, une piqûre de moustique dure environ 3 minutes !

5.1.1/ Comment les éviter ?

Contrairement aux idées reçues, inutile d’éteindre la lumière ! En effet, c’est pas son odorat et non sa vue que le moustique repère ses proies. Quelques conseils en cas de forte exposition :

  • Utilisez des répulsifs à pulvériser directement sur votre peau. Les molécules suivantes sont reconnues comme efficaces : le DEET, le KBR (ou picaridine), l’IR 35/35 et le citrodiol.
  • Adoptez une bonne hygiène corporelle puisque les moustiques sont attirés par les odeurs corporelles, comme le sébum ou la sueur.
  • Privilégiez les vêtements clairs et dans la mesure du possible, des vêtements longs et amples.
  • Créez des courants d’air ou placez un ventilateur sur votre balcon ou auprès de vos fenêtres. Les moustiques ne peuvent pas lutter contre les flux d’air. Ainsi, vous les empêcherez de se déplacer normalement.
  • Utilisez des répulsifs à base de perméthrine, qui résistera à plusieurs lavages. Ils sont très puissants. Soyez donc vigilants si vous avez des enfants ou des animaux.
  • Pour dormir tranquillement, mettez une moustiquaire autour de votre lit.

5.1.2/ Attention

Il est déconseillé d’utiliser des aérosols et diffuseurs d’insecticides, surtout en présence d’enfants. Ils contribuent à la résistance des moustiques face aux insecticides et ne sont, de toute façon, efficaces que lorsque les pièces sont fermées.

Selon un rapport de la Société française de parasitologie, ces anti-moustiques sont à éviter : « Il est fortement recommandé de ne pas utiliser les bracelets anti-insectes pour se protéger des moustiques, les appareils sonores à ultrasons, la vitamine B1, l’homéopathie, les raquettes électriques, les rubans, papiers et autres autocollants gluants sans insecticides. »

5.1.3/ Comment les traiter ?

Si malgré toutes ses techniques de lutte contre les moustiques, vous faites parties des peaux les plus touchées, voici comment soulager vos piqûres :

  • Lavez votre piqûre à l’eau et au savon de Marseille, qui a un effet calmant.
  • Appliquez une solution de bicarbonate de soude et d’eau (3/4 bicarbonate et 1/4 d’eau) sur votre piqûre à l’aide d’un tissu imbibé.
  • Appliquez une source de chaleur tout près de l’endroit de la piqûre pendant une quinzaine de secondes. Ou à l’inverse, frottez votre piqûre avec un glaçon (recouvert d’un tissu pour éviter la brûlure).
  • Utilisez des crèmes antihistaminiques disponibles en pharmacie. Elles soulagent les démangeaisons dans l’heure qui suivent l’application.
  • Si cela est insuffisant, vous pouvez utilisez des corticostéroïdes qui viendront soulager les démangeaisons mais également les réactions inflammatoires. Attention : une ordonnance est obligatoire pour certaines de ces crèmes.

A découvrir aussi : Conseils pour soulager une piqûre de moustique et savoir bien réagir face à une piqûre d’une abeille, guêpe ou d’un frelon.

5.2/ Piqûres de méduses

Une piqûre de méduse est provoquée par un simple contact physique. Le venin est alors introduit par un filament chez la victime.

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5.2.1/ Que faire en cas de piqûre de méduse ?

La sensation sera désagréable car la piqûre est très douloureuse. La première chose à faire est de sortir calmement de l’eau, et de ne pas paniquer. Ensuite, rincez abondement la piqûre avec de l’eau salée en frottant bien pour essayer de faire partir tous les filaments présents sur la peau.

Aidez vous d’une poignée de sable si vous n’y arrivez pas à l’eau. Ensuite, traitez la piqûre comme une brûlure lambda : badigeonnez-la de crème grasse comme la Biafine, ou la Vaseline.
Attention : ne rincez pas à l’eau douce, ne versez pas d’alcool. Ne surtout pas se gratter.

Si vous suspectez une inflammation ou une réaction allergique, n’hésitez pas à prendre conseil auprès de votre médecin traitant.

A découvrir aussi : Conseils pour éviter mais aussi soulager une piqûre de méduse

Vous êtes désormais prêt à affronter l’été

L’été est la saison préférée de pas mal d’entre nous, mais cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas être vigilants. Puisqu’il vaut mieux prévenir que guérir, nous espérons que tous nos conseils de prévention vous seront utiles et que vous ne ferez pas grand usage de nos conseils de traitement !

Vous avez maintenant toutes les cartes en mains. Passez un bon été !

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