Conscient des difficultés actuelles des familles les plus modestes, le Gouvernement met en place plusieurs dispositions pour les aider sur le plan financier. À ce titre, le Premier Ministre Jean Castex a annoncé que l’allocation de rentrée scolaire serait revalorisée de 100 €. Ce petit coup de pouce interviendra dès le mois de septembre et s’accompagnera d’autres mesures, notamment pour permettre aussi aux étudiants de gérer plus facilement leurs frais.
Une revalorisation exceptionnelle de 100 €
Pour rappel, l’allocation de rentrée scolaire (ARS) est destinée aux parents dont les revenus sont modestes. En 2019, elle a été versée à 3 millions de foyers. Son montant était de 368,84 € pour un enfant de 6-10 ans, 389,19 € pour un enfant de 11-14 ans et 402,67 € pour un enfant de 15-18 ans.
Cette année, elle devrait donc offrir 100 € de plus aux bénéficiaires, selon l’annonce effectuée par Jean Castex mercredi 15 juillet dans sa déclaration de politique générale effectuée à l’Assemblée Nationale.
Le ministre a poursuivi en affirmant qu’il voulait renforcer la « solidarité nationale » dans l’optique d’éviter autant que possible une crise majeure (tant sur le plan social qu’économique). Il a d’ailleurs ajouté que le plan de pauvreté initié par le précédent Gouvernement pouvait être amplifié, en fonction de l’évolution du contexte.
En parallèle, l’État entend aussi soutenir les étudiants qui souffrent particulièrement de la crise actuelle. Pour beaucoup, par exemple, il n’a pas été possible de trouver de job saisonnier cet été, car les entreprises recrutent moins… Ils craignent logiquement d’avoir des difficultés à financer leurs études l’année prochaine.
Pour les aider, le Premier Ministre va lancer également des repas à 1 € dans les restaurants universitaires (ils sont habituellement à 3,30 €). Ce dispositif permettant de réduire les dépenses du quotidien devrait, lui aussi, être mis en place dès la rentrée.
Super, cela fera de plus grand téléviseur dans le caddie de certains !
Complètement d’accord, bravo une fois de plus au gouvernement, on assiste, on assiste. jusqu’où là est la question !